marianne-de-montmirail.erog.fr

un samedi soir d'été
le souffle chaud de la soirée caressait ma peau
il faisait nuit, je distinguais dans le ciel des milliers d'étoiles
dans la rue silencieuse résonnait mes talons aiguilles
il me restait environ 500 m avant de regagner mon véhicule
mon esprit vagabondait, il n'était pas venu au rendez vous
mon cœur était triste
un bruit me fit tourner la tête mais je ne distinguais rien
que le bruissement des feuilles des arbres
il n'y avait aucune circulation, il était tard très tard
mon regard s'attarda sur un véhicule en stationnement
l'immatriculation m'interpelait,
mais mon esprit était ailleurs j'entrepris de continuer mon chemin
quand je ressentis une présence derrière mon dos,
mon cœur s'accéléra ainsi que la cadence de mes pas
je n'osais de peur me retourner et je préférais faire comme si de rien n'était
gardant le rythme soutenu de ma marche
la présence se rapprochai
elle était toute proche, la peur m'empêchait de me retourner
l'impact fut rapide, une main m' attrapa le bras
tandis qu'une autre se posa sur ma bouche
la rapidité du geste ne m'empêcha pas
de reconnaître mon assaillant,
son parfum hantait encore mes rêves
arrivé dans un endroit sombre il me plaqua contre le véhicule
ses mains saisissant mes poignets, les relevant au dessus de ma tête
il était plus grand que moi, je levais les yeux, le regardait
la bouche entrouverte, il y colla ses lèvres,
sa langue s'introduisit dans ma bouche, le désir
monta en lui, pour moi rien que ce baiser m'avait mise en transe
il continuait a maintenir mes poignets au dessus de ma tête mais
avait libéré ma main droite , il commença par mon cou
descendit sa main dans le creux de mes seins, je me mit a gémir
remuant involontairement mon bassin, je sentit le sexe de l'homme
gonflé de plaisirs je le voulait de suite en moi, c'était incontrôlable
il devina mon envie, sa main descendit vite sous ma jupe la relevant, il
descendit mon string, sa main toucha mon sexe, il y introduisis un doigt
mon vagin était mouillé, ma vulve boursoufflée de désir, je n'avait pas de poils
tous épilés mais il sentait au toucher ma peau perlée de désir, sa main
était trempée, il ne pouvait plus attendre, il me lâcha, saisit ma cuisse ferme et blanche
la leva et introduisit son sexe d'une poussée violente, je me suis agrippé a ses épaules,
me collant a lui pour une me pénétration plus profonde, il s'arrêta quelques secondes
son sexe au plus profond de moi, les yeux dans les yeux, mon regard était voilé
il sentit mon vagin se contracter sous l'orgasme, il se laissa aller repris
un mouvement de va et vient, j'ai planté mes ongles dans ses épaules
en gémissant, il pouvait voir mes pupilles dilatées, il plongea sa
tête dans mon cou, profitant encore une fois du parfum de mes cheveux.