il avait été convenu qu'il me rejoindrait a l'hôtel
tout devait être parfait
plus qu'une préparation j'opérais un rituel
mille et mille fois répété dans ma tête
douche, lavement de mes orifices avec ma poire
je veux me sentir propre jusqu'au plus profond
huile de monoi sur tout mon corps pour faire ressortir mon bronzage
ce qui il me semble me fais paraître moins ronde
il est temps d'enfiler cette guêpière blanche en dentelle
ainsi que les bas blanc (acheté dans un magasin de mariage)
car je sais qu'il affectionne le blanc
cheveux lissé, et attaché et a peine maquillée
voilà je suis enfin moi
il va arriver chambre 27, j'attends, je tourne et retourne dans cette chambre
me regard a nouveaux dans la glace, vais je encore lui plaire
le doute m'étreins, comment lui si beau pourrais ce satisfaire de mon corps
qui n'est plus parfait
je pense encore a cette chance de l'avoir a moi pendant ces quelques heures
deux bougie sont sur les tables de chevet
une corde a été glissée sous le lit dépassant de part et d'autre
le temps passe, seconde après seconde, minute après minute
j'angoisse, des pas dans l'allée, un coup a la porte
panique totale, j'ouvre et vais me poster devant le lit a genoux
tête baissée, le bandeau sur mes yeux
il entre, bruissement de ses pas a ma droite, il enlève sa veste
j'entends sa respiration malgré la mienne qui est forte et saccadée
sa main frôle mon épaule, il s'arrête
sa bouche s'empare de la mienne, je lui rend son baiser avec ardeur
ma main se pose sur son bras, remis immédiatement en place derrière mon dos
la phrase me tétanise « ne bouge pas »
il se met derrière moi sa main caresse mon dos, ma nuque
sa main agrippe mes queue de cheval me faisant lever le tête
ses deux mains caresse ma nuque mon cou, lentement fermement
descende sur mes seins emprisonnés dans la guêpière
descende jusqu'à mon intimité recouvert par se string blanc
il masse ma chatte, j'écarte mes jambes au plus large je mouille comme une chienne
je sent son torse contre moi
son autre main se glisse dans mon dos, pousse la ficelle et son doigt masse mon anus
malgré mon refus de m'offrir, je sens mes sphincter s'ouvrir
il me doigte, vagin et anus, je commence a gémir, une morsure dans mon cou
me rappelle que je dois être silencieuse, mais je ne peux retenir ma respiration
rauque et mon corps qui ondule a chaque pénétration
il se retire, me laissant pantelante, ouverte et humide
j'entends le bruissement des ses habits qu'il enlève
son sexe se poste devant ma bouche
je sais ce que j'ai a faire, je le gobe au plus profond, il force insiste
mes mains se postent sur ces fesses, mes ongles s'accrochent
et je suce profondément ce sexe offert, ma bouche va de sa verge a ses couilles
il s'assoit au bord du lit, écarte les jambes et s'allonge, je ne voit rien mais
je n'ai aucun mal a m'emparer a nouveau de sa verge
ma bouche gobe ses testicules, ma langue lèche encore et encore
descendant son scrotum, la pointe de celle ci touche sa rondelle
j'aime sentir son anus se desserrer et resserrer sous ma langue
ses mains maintienne ma tête par mes cheveux, j'obéis, il me guide
au grès de ses envies, verge, couille, ou anus
il retire brutalement ma bouche, toujours par les cheveux m'invite a me coucher
sur le lit, sur le dos, retire mon string, il profite de la corde pour attacher chacun de mes poignets
je suis en croix, ses mains écartent mes cuisses, il procède a une fouille minutieuse de ma chatte
chaque replis et plis et touché, il me doigte, il m'écarte, il joue, il se lâche
torture ma chair, écarte mes lèvres, me pénètre profondément largement
je contrôle l'orgasme qui vient qui gronde, je me contorsionne
la claque sur la cuisse me calme et me chauffe, mais mon corps recommence
chaque claque me calme et me met le feu a mon corps
ses mains massent mes seins, pince mes mamelons fortement
le désir me submerge, je mords me lèvres, mon corps tremble
il sait que je vais jouir, quand tous mon corps s'emplit de spasme
il arrête tout me laissant le souffle coupé
il descend du lit, s'assoit et reste immobile me laissant la chatte ouverte humide,
mes jambes sont écartées mais le désir redescend, je suis frustrée, le temps passe
enfin il remonte sur le lit, je gémit, la claque fuse me coupant le souffle
mes jambes se resserrent instinctivement
mais ils me les écartent, je résiste, mais il est trop fort
il repose mes genoux sur mon torse, son sexe va de ma chatte a mon anus
il me pénètre aisément je mouille, mais se retire, une fois deux fois trois fois
sa bouche se rapproche de mon oreille
« joui ma chienne »il m'embrasse longuement,
il a décidé de me sodomiser et me pénètre lentement profondément
sa paume se pose sur ma trachée,une autre sur mon sein qu'il torture violemment, et son sexe laboure mes reins
chaque coup me coupe le souffle,
a chaque fois qu'il est au fond de moi il fait une pression de ses mains sur mon cou
la pièce s'emplit de mes râles je joui intensément sauvagement
la tempête passée, il me détache, je l'invite de mes bras nous restons immobile
serré l'un contre l'autre, en silence, il n'y a nul mots pour expliquer ce que nous
venons de vivre